Occurences de l'expression
ri
pour DORAT, Claude-Joseph
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LA FEINTE PAR AMOUR (1773)
- Un billet qu'à Damis, Mélise vient d'écrire. v.4 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Réservé, n'osant rien se permettre. v.7 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Je veux, moi, qu'en aimant l'on bavarde, l'on rie, v.11 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- La dame s'en moqua, prit son vol de plus belle, v.31 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Quelqu'amoureux qu'on soit, Dorine, Dieu fait comme v.39 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Quatre mois de rigueur découragent un homme. v.40 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Veuve d'un pédagogue appelé son mari, v.45 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Elle a pris dans le monde un maintien aguerri ; v.46 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Et sa coquetterie à toute heure excitée, v.51 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- J'ai donné dans le piège où lui-même il fut pris : v.69 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Eh bien, c'était l'enfer, et mépris sur mépris. v.70 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Par sa frivolité connu dans tout Paris, v.78 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Ce qui mène une intrigue et distingue un amant. v.86 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Tête vague esprit faible et sans le moindre plan. v.97 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Je riais de le voir, dans son humeur caustique, v.99 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- S'ériger en penseur trancher du politique. v.100 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Ces regards ou l'esprit est joint au sentiment. v.110 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- C'est un portrait qu'il a tiré de son écrin. v.121 (Acte 1, scène 2, GERMAIN)
- Le drôle n'en croit rien. v.125 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Me trompé-je ? Comment ! Ne laissons rien paraître. v.128 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Je dois récompenser, Dorine, un tel message. v.137 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- Soit : mais en vérité, v.138 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- Vous pouviez être ingrat avec sécurité. v.139 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- Qu'à prix d'or quelquefois on payât un congé, v.143 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- Couvrir l'étourderie et l'indiscrétion : v.151 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- Pour souscrire à l'arrêt que son coeur a dicté. v.155 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- L'a-t-elle écrit gaiement ? v.159 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- Sans gaîté, sans chagrin. v.159 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- Pour écrire autrement, on fait ce qu'il en coûte. v.161 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- Mais ne dirait-on pas que ce n'est rien ! v.165 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- Dorine v.165 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- Mais brisons là-dessus. Quoi que Mélise fasse, v.172 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- Ces événements là n'ont plus rien qui m'étonne. v.176 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- Le caprice m'exclut, l'amitié lui pardonne. v.177 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- Ce diable de billet lui tourmente l'esprit. v.187 (Acte 1, scène 5, GERMAIN)
- Rien n'est encor perdu mon secret me demeure. v.189 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- Un dépit, un congé vaut toujours mieux que rien. v.203 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- C'est que je n'aime point les esprits inventifs. v.215 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- Moi, je n'invente rien. Vous n'aimez pas Mélise ? v.216 (Acte 1, scène 5, GERMAIN)
- Qu'on ne s'éloigne pas. Ma surprise est complète ! v.225 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- C'est monsieur Floricourt, qui s'annonce en chantant. v.227 (Acte 1, scène 5, GERMAIN)
- Il est votre rival... v.228 (Acte 1, scène 5, GERMAIN)
- Je suis triste, et je viens près de toi, v.230 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Que je te trouve heureux ! Un esprit toujours libre ! v.232 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Tout, depuis ce matin, m'affecte horriblement. v.238 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Rien n'avance ne va... j'ai plus de cent paroles : v.244 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Saisir l'esprit, le ton de nos sociétés, v.246 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Voir les gens qu'il faut voir, briller par ma dépense, v.248 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Renchérir sur ces riens qui font notre importance, v.249 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- On me fête, et c'est tout :avantage stérile ! v.252 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Je fis rire Chloé, rire jusqu'à l'excès v.258 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Une bégueule morne et qui ne rit jamais... v.259 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Eh bien, quand on sourit, je réclamai son zèle ; v.261 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Me pria de descendre et d'appeler ses gens. v.263 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Crois-tu donc à ce mot, à ce brillant prestige ? v.269 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Il semble qu'aujourd'hui la fortune vous rie ; v.272 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Demain le ciel se brouille, et la scène varie. v.273 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Brise, en riant, l'autel qu'il encensait la veille. v.277 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- On se tue à briguer ce qu'on ne peut avoir. v.279 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Nul procédé, surtout : le prix est pour l'adresse. v.293 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Dorine me protège ; elle fait babiller : v.294 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Cette Dorine là me paraît entendue. v.297 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Rien n'est mieux calculé qu'une telle conduite ; v.304 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- D'un sourire attrayant la finesse éloquente, v.309 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Mais Lisimon est riche, et Mélise aura tout. v.311 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Voilà ce qu'il vous faut ; rien n'est plus convenable ; v.312 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Oui. Par ce mariage ( et tu m'y détermines ) v.316 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Autre temps, autres soins ; risquant quelques soupirs, v.322 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Adieu : je vais courir chez tous mes gens d'affaires, v.324 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- J'emporte un avis sage, et mon coeur le mérite. v.329 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Ses grâces, son esprit n'ont rien qui t'intéresse ! v.336 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- En elle il considère, il cherche la richesse ! v.337 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- Je puis bien à mon tour risquer une imprudence v.352 (Acte 2, scène 1, DAMIS)
- Veut de mâles esprits et des coeurs énergiques. v.357 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Quand je m'en escrimais, j'accordais tout cela : v.358 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Le tableau de l'Europe était imprimé là. v.359 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Que je te montrerai, tous biens patriotiques, v.381 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Moi, comme un franc Gaulois, j'aime encor ma patrie. v.388 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Brouillant, bouleversant les principes connus, v.398 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Puisqu'ils ne peuvent rien, ils seront éconduits. v.403 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Et croyant échapper à de tristes liens, v.406 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Il incline un peu trop vers la coquetterie, v.412 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Par de certains secrets dérouter son caprice, v.424 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Qui connaisse le prix d'un amour délicat, v.434 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Eh bien, je me corrigerai. v.442 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Ma surprise est extrême. v.449 (Acte 2, scène 3, MÉLISE)
- Quand nous mariez-vous ? v.450 (Acte 2, scène 3, M?LISE)
- Vous l'avez trop bien su guérir de ce dessein. v.451 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Rien. v.452 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Rien n'est plus vrai : ma maîtresse est vengée. v.464 (Acte 2, scène 3, DORINE)
- Non, je suis véridique. v.473 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Que monsieur Lisimon a reprit clairvoyant ! v.474 (Acte 2, scène 3, DORINE)
- Rien ne peut échapper à son oeil pénétrant. v.475 (Acte 2, scène 3, DORINE)
- Que trop, en vérité. J'ai bien payé cela ; v.478 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Je ne démêle rien, je ne fais rien connaître... v.481 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- En poste allait chercher des chagrins à la Cour... v.487 (Acte 2, scène 3, MÉLISE)
- Floricourt, au surplus, n'a rien pour vous déplaire. v.492 (Acte 2, scène 3, DORINE)
- Quel plaisir de briller, d'étendre un peu sa sphère ! v.500 (Acte 2, scène 3, DORINE)
- Et ce rire ingénu qui cache un politique. v.505 (Acte 2, scène 3, DORINE)
- Damis, toujours Damis ! Ce caprice est risible... v.517 (Acte 2, scène 4, DORINE)
- Tu dis que mon billet n'a point paru l'aigrir ? v.526 (Acte 2, scène 4, MÉLISE)
- Nais moi, Dorine, aussi j'ai fait une imprudence ; v.528 (Acte 2, scène 4, MÉLISE)
- Qui lui pût attirer cette rigueur extrême ? v.532 (Acte 2, scène 4, MÉLISE)
- Eh ! Mais, rien n'est plus clair. v.535 (Acte 2, scène 4, DORINE)
- Moi, je n'en ai rien vu. v.535 (Acte 2, scène 4, MÉLISE)
- Oh ! Rien. v.544 (Acte 2, scène 4, MÉLISE)
- Tu n'as rien entendu de ce qu'il a pu dire ? v.549 (Acte 2, scène 4, MÉLISE)
- Je ne demande pas s'il était triste ou gai ; v.551 (Acte 2, scène 4, MÉLISE)
- Demeurez, je vous prie. v.553 (Acte 2, scène 4, MÉLISE)
- Rien n'échappe avec lui.. v.565 (Acte 2, scène 5, GERMAIN)
- S'il ne faut rien celer, v.570 (Acte 2, scène 5, GERMAIN)
- Et l'on ne peut savoir quel est l'original ? v.578 (Acte 2, scène 5, MÉLISE)
- Madame, en vérité... v.581 (Acte 2, scène 5, GERMAIN)
- Retirez-vous, Dorine. v.593 (Acte 2, scène 6, MÉLISE)
- J'entends du bruit : on vient. Ciel ! Floricourt ! L'ennui ! v.594 (Acte 2, scène 6, M?LISE)
- Du coeur ! Y songez-vous ? Vous léger, vous frivole !... v.600 (Acte 2, scène 7, MÉLISE)
- Encore un coup, supprimons la fadeur ; v.602 (Acte 2, scène 7, MÉLISE)
- Mais depuis près d'un mois, disons la vérité, v.606 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Vous avez de l'humeur : on n'en est pas surpris. v.610 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- S'enterrer chez un oncle, et s'ériger en sage ! v.613 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- C'est trop ensevelir de si brillants appas, v.623 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Hériter, avant peu, d'une tante éternelle !... v.628 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Il paraît cependant qu'elle a pris son parti. v.631 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Est-il riche ? On l'ignore... on songe à ses vertus. v.638 (Acte 2, scène 7, MÉLISE)
- Vous bravez la fortune et cédez au mérite. v.641 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Ce sacrifice est noble et surtout bien placé. v.642 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Par exemple, Marquis, permettez-moi de rire. v.644 (Acte 2, scène 7, MÉLISE)
- Écoutons la raison et laissons la grimace. v.649 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Faisons à tout Paris envier nos amours. v.651 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Trêve donc s'il vous plaît à la plaisanterie... v.652 (Acte 2, scène 7, MÉLISE)
- Il extravague... On vient. Levez-vous, je vous prie. v.653 (Acte 2, scène 7, M?LISE)
- Que mon hommage a pris, et ne vous déplaît pas. v.655 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Madame, en vérité, pensez-vous à cela ? v.670 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Votre oncle brusquement vient m'offrir votre main. v.674 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Ma lettre vous l'apprend sans rien dissimuler. v.682 (Acte 2, scène 8, MÉLISE)
- Cette assiduité que tout Paris a vue, v.692 (Acte 2, scène 8, MÉLISE)
- Cela signifiait que votre esprit enchante, v.700 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Soit, soit. Eh ! Que me fait votre amour, je vous prie ? v.704 (Acte 2, scène 8, MÉLISE)
- Il pourrait vous fâcher ; mais vous l'auriez fait naître. v.713 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- pourquoi, prompte à risquer un arrêt qui m'accable, v.716 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Je le veux par raison, bien plus que par caprice... v.725 (Acte 2, scène 9, MÉLISE)
- C'est mon maudit billet !... Qui me forçait d'écrire ? v.728 (Acte 2, scène 9, M?LISE)
- Que prétendais-je avant qu'il m'eut osé rien dire ? v.729 (Acte 2, scène 9, M?LISE)
- Ma foi, ce Floricourt n'est point aussi frivole... v.736 (Acte 3, scène 1, LISIMON)
- Trop de flegme, à la longue, est à périr d'ennui, v.750 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- La mode en peut venir, et rien n'est moins plaisant. v.755 (Acte 3, scène 2, DORINE)
- Et supprimez surtout le talent des portraits. v.759 (Acte 3, scène 2, MÉLISE)
- Je ne comprends plus rien à vos métaphores. v.765 (Acte 3, scène 2, MÉLISE)
- J'admire en pareil cas, votre sécurité : v.775 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- L'obscurité me blesse. v.780 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Quand on a votre esprit, vos grâces, votre goût, v.781 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Il faut prendre un mari fait pour aller à tout. v.782 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Voilà du Floricourt... Si pourtant son humeur... v.789 (Acte 3, scène 3, MÉLISE)
- Il le mériterait. v.793 (Acte 3, scène 3, DORINE)
- Hem ? Comment ? Votre esprit se forme tout-à-fait, v.794 (Acte 3, scène 3, MÉLISE)
- Je vous trouve aujourd'hui brillante en réparties. v.795 (Acte 3, scène 3, M?LISE)
- J'en ai ri la première. v.800 (Acte 3, scène 4, MÉLISE)
- Je ne fais où j'ai pris ces indiscrets éclats. v.801 (Acte 3, scène 4, M?LISE)
- Quel sort me feriez-vous si j'osais vous aimer ? v.822 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- Doit tout à son penchant, et rien à son adresse. v.836 (Acte 3, scène 4, MÉLISE)
- Il faut s'abandonner, sentir tout, ne rien feindre, v.839 (Acte 3, scène 4, M?LISE)
- S'enflammer pour le prix, sans projet pour l'atteindre. v.840 (Acte 3, scène 4, M?LISE)
- Floricourt, par exemple, et m'excède et m'ennuie ? v.852 (Acte 3, scène 4, MÉLISE)
- Que même en les fêtant, je méprise les sots ; v.854 (Acte 3, scène 4, M?LISE)
- Qu'à la foule bruyante, à mille jolis riens, v.857 (Acte 3, scène 4, M?LISE)
- Eh bien, Monsieur... Je n'ai plus rien à dire. v.860 (Acte 3, scène 4, MÉLISE)
- Quand le coeur ne sent rien... v.861 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- Avez-vous donc, Monsieur, retourné son esprit ? v.869 (Acte 3, scène 5, MÉLISE)
- Et j'ai surpris enfin l'instant de le flatter. v.873 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Vous auriez un oeil d'aigle, un abord populaire, v.878 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- D'offrir tout mon crédit... Enfin rien ne l'arrête, v.882 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Voyez si rien l'émeut. v.884 (Acte 3, scène 5, MÉLISE)
- L'original, sans doute est un objet charmant ? v.897 (Acte 3, scène 5, MÉLISE)
- Il est d'une rigueur Madame, prononcez. v.904 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Mon sexe... est curieux. v.905 (Acte 3, scène 5, MÉLISE)
- De tous vos soins pour moi spectatrice immobile, v.923 (Acte 3, scène 6, MÉLISE)
- Et n'a garde avec vous de se plaindre de rien ! v.925 (Acte 3, scène 6, M?LISE)
- Oh ! Dans ce moment-ci vous verriez mal sans_doute. v.946 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Pourquoi ravir un bien que l'on peut mériter ? v.961 (Acte 3, scène 6, MÉLISE)
- Il est chargé de tout ; moi je n'ai rien à dire. v.963 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Je redoutais vos goûts, le Marquis... vos caprices, v.978 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Vous ne vous doutiez pas de tous mes sacrifices. v.979 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Le tour n'est pas si noir... vous riez. v.983 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- S'en irait contristé, honteux de sa disgrâce. v.991 (Acte 3, scène 7, FLORICOURT)
- Un tendre désespoir m'ennuierait à mourir. v.992 (Acte 3, scène 7, FLORICOURT)
- Pour chasser un rival ton secret est fort bon. v.996 (Acte 3, scène 8, LISIMON)
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RÉGULUS (1765)
- Les Députés d'Afrique ici doivent se rendre ; v.1 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Presser, gémir, prier... v.5 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Illustrait à la fois sa femme et sa patrie. v.10 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- De mes profonds ennuis la funeste origine. v.14 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Opposer un héros aux héros de l'Afrique. v.18 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Sans briguer cet honneur; modeste et renfermé, v.19 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Barsine, il souriait, en volant aux combats, v.27 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Rome tournait vers moi ses regards attendris ; v.32 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Régulus est esclave, et je ne suis plus rien. v.36 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Le Tribun plus sensible est ma seule espérance. v.54 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Pour un héros que j'aime attendrir tous les coeurs ! v.60 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Songez à Régulus, perdu pour la Patrie, v.69 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Pour un Sénat jaloux qui l'a sacrifié, v.75 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Qui peut lui mériter un oubli si barbare ? v.77 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Sur les rives du Tibre, oublier Régulus ? v.80 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Les Tribunaux ! Du faible il y fut le vengeur : v.83 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Il régnait au Sénat, il périt dans les chaînes ! v.93 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Insensible Patrie, ô Rome, ô Régulus ! v.95 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Est-ce donc là le prix que l'on garde aux vertus ? v.96 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Les Députés d'Afrique ici doivent se rendre. v.109 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Offrir aux Africains la rançon d'un héros ; v.112 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Prier ou commander, parler avec courage ; v.113 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Vous venez me prier de remplir mon devoir ! v.116 (Acte 1, scène 2, MANLIUS)
- Si j'osais oublier un guerrier tel que lui. v.120 (Acte 1, scène 2, MANLIUS)
- N'attendez rien de moi, rien de mon amitié : v.123 (Acte 1, scène 2, MANLIUS)
- Mais, dans ce coeur, tout cède au bien de la patrie : v.126 (Acte 1, scène 2, MANLIUS)
- Quel bruit ! Que veut Priscus ? v.129 (Acte 1, scène 3, MANLIUS)
- L'Ambassadeur arrive : v.129 (Acte 1, scène 3, PRISCUS)
- Tout le Peuple à grands flots a couru vers la rive : v.130 (Acte 1, scène 3, PRISCUS)
- Rome va les briser, et peut braver Carthage. v.142 (Acte 1, scène 4, MARCIE)
- Mais ces premiers instants sont tous à la Patrie : v.150 (Acte 1, scène 4, RÉGULUS)
- Rivaux de ses vertus, ennemis de Carthage ? v.158 (Acte 1, scène 4, MARCIE)
- Manlius !... Vous, Tribun, soyez son défenseur : v.160 (Acte 1, scène 4, MARCIE)
- Elles n'ont pu changer ni flétrir mon courage. v.166 (Acte 1, scène 5, RÉGULUS)
- Vit tomber ses rivaux sous un bras plus utile. v.170 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Métellus vient, triomphe ; il les fait tous trembler, v.171 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Et le sang Africain recommence à couler. v.172 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Et les cris de Carthage, à la douleur en proie, v.177 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- C'est moi, le croirez-vous, qu'elle a pris pour organe ! v.182 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Les vôtres, à ce prix, vous seraient tous rendus ; v.188 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- À ce prix, je suis libre ; et voilà son adresse. v.189 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Et d'un si noble appui que le Sénat se prive ? v.202 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Dans l'intérêt commun mon intérêt n'est rien : v.203 (Acte 1, scène 5, RÉGULUS)
- L'État, sans s'appauvrir, peut perdre un citoyen. v.204 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Quel exemple odieux donneriez-vous à Rome ? v.206 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Osent encor nourrir l'espérance chérie v.213 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- De revoir leurs foyers, leurs femmes, leur Patrie ? v.214 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Ils ont tendu leurs bras aux fers des Africains ! v.216 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Il leur criait en vain ; arrêtez, arrêtez : v.219 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Je les ai commandés ; je dois mourir comme eux. v.224 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Mourir ! vous, Régulus, un autre espoir m'anime : v.225 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Il faut un autre prix à ce zèle sublime : v.226 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- N'êtes-vous rien pour nous ? v.228 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Traînant vers le tombeau ma vieillesse stérile, v.233 (Acte 1, scène 5, RÉGULUS)
- Ces Soldats généreux, aigris par l'esclavage, v.237 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Sont autant de Héros, dont vous privez Carthage. v.238 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Dans les plus grands périls, toujours plus intrépides, v.242 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Vous, que nous devrions conduire au Capitole ! v.258 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Il s'immolait entier au bien de la Patrie. v.266 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Guerrier, par ses exploits il défendait l'État : v.267 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Dans les déserts d'Afrique il s'ouvrit un passage ; v.269 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Tout cède, s'attendrit ; et je ressens moi-même v.281 (Acte 1, scène 5, MANLIUS)
- Faites triompher Rome, et non pas l'amitié. v.288 (Acte 1, scène 5, RÉGULUS)
- Puisse-t-elle éclairer nos esprits incertains ! v.291 (Acte 1, scène 6, MANLIUS)
- Que me font après tout, et ses cris et ses larmes ? v.305 (Acte 1, scène 7, MANLIUS)
- Rien ne peut éclipser le jour qui la rassure. v.310 (Acte 1, scène 7, MANLIUS)
- Quand je sers la Patrie, et songe à son bonheur, v.311 (Acte 1, scène 7, MANLIUS)
- Malheureuse ! Ah ! Pardonne : attendri par tes charmes, v.317 (Acte 2, scène 1, RÉGULUS)
- J'ai senti l'amertume et le prix de tes larmes : v.318 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- Je consens à briser les noeuds les plus parfaits ! v.320 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- Parmi les pleurs, les cris, toujours calme et sévère, v.321 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- Pour me mettre à l'abri de ce zèle barbare, v.333 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- Voilà le seul péril que j'aie à redouter. v.336 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- Ah ! que m'a-t-on appris ? v.339 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- De mon amour, Dieux ! quel horrible prix ! v.340 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Elle ignorait, hélas ! que souscrite à tes voeux, v.343 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- A su tout découvrir par la Garde Africaine. v.354 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- D'un Héros qu'on opprime il soutenait les droits. v.360 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Prodiguant, tour-à-tour, l'éloge et la prière, v.362 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- J'ai de tes longs malheurs retracé l'origine ; v.365 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- De chacun, fans rougir, j'ai brigué le suffrage. v.369 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Si rien ne peut fléchir ta farouche constance, v.390 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Doit-il donc tout à Rome, et rien à la Nature ? v.394 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Satisfait de ton coeur, sans brigues, sans chagrins, v.399 (Acte 2, scène 2, RÉGULUS)
- Exerçant dans mes champs une obscure industrie v.401 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Par mes voeux seulement je servais la Patrie. v.402 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Et, pour la bien venger de ce repos stérile, v.405 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- La Patrie est un corps respectable et sacré : v.407 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Qui de nous peut sans crime en être séparé ? v.408 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Des maux qu'elle t'a faits revois la triste image ; v.425 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- De périls en périls à toute heure entraîné ; v.427 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Par ta brillante erreur sans cesse dominé, v.428 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Ces vains raisonnements sont un frivole appas. v.444 (Acte 2, scène 2, RÉGULUS)
- Mais les grandes vertus sont les grands sacrifices : v.450 (Acte 2, scène 2, RÉGULUS)
- Mon triomphe, ô Patrie ! v.488 (Acte 2, scène 3, RÉGULUS)
- Je ne saurais souffrir qu'on me vante un barbare, v.491 (Acte 2, scène 3, MARCIE)
- Et dont l'austérité, nous prenant pour victimes, v.495 (Acte 2, scène 3, MARCIE)
- De l'ombre du devoir embellit tous ses crimes. v.496 (Acte 2, scène 3, MARCIE)
- Il nourrit dans son coeur une secrète envie ; v.499 (Acte 2, scène 3, MARCIE)
- Et te hait, Régulus, sans aimer la Patrie. v.500 (Acte 2, scène 3, MARCIE)
- Reviens à toi, Marcie : est-ce là me chérir ? v.501 (Acte 2, scène 3, RÉGULUS)
- Renferme tes soupçons : et toi, Priscus, pardonne v.507 (Acte 2, scène 3, R?GULUS)
- Mais, s'il ne poursuit point, il n'a rien fait encore : v.511 (Acte 2, scène 3, R?GULUS)
- Priscus, son amitié, dont je ressens l'effet, v.517 (Acte 2, scène 3, R?GULUS)
- Eh ! dois-je respecter leurs caprices bizarres ? v.523 (Acte 2, scène 4, RÉGULUS)
- Ne peut déterminer nos vertus ou nos crimes : v.528 (Acte 2, scène 4, RÉGULUS)
- La sainte vérité, que rien ne peut changer, v.529 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- Non ; je n'attendrai rien, si mes vaisseaux sont prêts. v.534 (Acte 2, scène 4, RÉGULUS)
- Ta faiblesse à la fois m'attendrit et m'offense. v.540 (Acte 2, scène 4, RÉGULUS)
- Que je revive en lui, pour te chérir encore. v.544 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- Il vient, avec des cris, se jeter dans mes bras ; v.558 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- Tu sembles t'attendrir. v.561 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- Quoi ! je n'obtiendrai rien ! quoi l'amour le plus tendre v.567 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- Je sens couler mes pleurs dans ce moment horrible. v.575 (Acte 2, scène 4, RÉGULUS)
- Ou languir dans la honte et dans l'obscurité, v.581 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- Flétri par un bonheur qu'il n'a point mérité. v.582 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- Ô zèle injurieux ! par la foule entraîné, v.589 (Acte 3, scène 1, RÉGULUS)
- Vous qu'enflamma toujours l'amour de la Patrie, v.595 (Acte 3, scène 1, R?GULUS)
- Soyez les défenseurs de ma gloire flétrie, v.596 (Acte 3, scène 1, R?GULUS)
- Qu'au sein de ma Patrie et sur les bords du Tibre. v.600 (Acte 3, scène 1, R?GULUS)
- Je remplis, en son nom, la loi qui m'est prescrite. v.604 (Acte 3, scène 2, LICINIUS)
- Citoyens, que l'on ouvre un chemin au rivage. v.607 (Acte 3, scène 2, MANLIUS)
- C'est donc à moi, Tribun, à qui vous insultez ! v.610 (Acte 3, scène 2, RÉGULUS)
- Plutôt que tes lauriers fussent flétris par moi, v.625 (Acte 3, scène 2, LICINIUS)
- As-tu donc mérité de mourir dans les fers ? v.633 (Acte 3, scène 2, LICINIUS)
- Eh ! Pourquoi les briser, dis-moi, s'ils me sont chers ? v.634 (Acte 3, scène 2, RÉGULUS)
- La triste liberté qu'on laisse à des coupables ! v.636 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Et c'est le crime seul qui peut le rendre esclave. v.644 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Je dois mourir pour elle... v.647 (Acte 3, scène 2, RÉGULUS)
- Mais il est un moyen de m'en payer le prix. v.650 (Acte 3, scène 2, RÉGULUS)
- Les Africains, que j'ai trop su connaître, v.651 (Acte 3, scène 2, RÉGULUS)
- Cherchez, au sein des mers, des triomphes nouveaux : v.658 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Ô braves citoyens, rapportez sur ces rives v.659 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Ne quittez point le fer, que vos rivaux punis v.661 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- N'expirent étendus sur de sanglants débris. v.662 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Éternel Monument de la rage Africaine, v.663 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Je vois à mes regards un vaste champ s'ouvrir ; v.673 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Revivre dans vos coeurs, est-ce donc là mourir ? v.674 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Eh : qu'importe mon sang ? il est à ma Patrie : v.675 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Romains, avec transport, je vous le sacrifie. v.676 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Entouré d'Africains expirants par mes coups ! v.678 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Quel prix de mon trépas, et pour moi quels honneurs, v.681 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Lorsque de vieux Romains, héritiers de mon zèle, v.683 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- À leurs enfants un jour m'offriront pour modèle ! v.684 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Vous allez à l'instant m'ouvrir tous les chemins. v.686 (Acte 3, scène 2, RÉGULUS)
- Un instant de pitié surprit votre vertu... v.689 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Dieux ! le passage est libre... Africains, je vous suis. v.697 (Acte 3, scène 2, RÉGULUS)
- Vous voulez nous quitter, pour courir au trépas ! v.701 (Acte 3, scène 3, ATTILIUS)
- Va, mon fils, fans rien craindre, entre dans la carrière, v.723 (Acte 3, scène 3, RÉGULUS)
- Qu'elle applaudisse, un jour, à tes exploits guerriers, v.729 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Et sente encore la joie, en voyant tes lauriers ! v.730 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Les prières d'un fils, mes cris, mon désespoir, v.734 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Hé bien ! puisque mes pleurs ne peuvent rien sur toi, v.737 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Puisque Rome triomphe et l'emporte sur moi, v.738 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- J'irai, j'attendrirai ces monstres furieux v.741 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Ils pourront, à leur gré, multiplier leurs crimes ; v.747 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Pourrez-vous le souffrir ce départ odieux ! v.768 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Ait affermi son bras, et mûri son courage : v.779 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Enchaîne malgré lui ce guerrier qui t'adore ; v.780 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Lui, mourir ! lui périr dans d'horribles supplices ! v.783 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Tremblez... De ses bourreaux vous seriez tous complices. v.784 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Il mérite ce titre, il a sauvé ma gloire : v.795 (Acte 3, scène 3, RÉGULUS)
- Je vais mourir content... Mais qui m'arrête encore, v.808 (Acte 3, scène 3, RÉGULUS)
- Sauvez-la, Citoyens !... Ah ! Tout mon coeur frissonne. v.815 (Acte 3, scène 3, RÉGULUS)
LE CÉLIBATAIRE (1776)
- On a sur l'enveloppe écrit, en diligence.... v.12 (Acte 1, scène 2, LE VALET)
- « J'arriverai peut-être aussitôt que ma Lettre : v.15 (Acte 1, scène 3, VERSEUIL)
- Mais près de Montbrisson crains de me compromettre, v.16 (Acte 1, scène 3, VERSEUIL)
- Si tu n'en as rien su, c'est un soin de ma part ; v.21 (Acte 1, scène 3, VERSEUIL)
- Et le succès peut seul couvrir mes imprudences. » v.24 (Acte 1, scène 3, VERSEUIL)
- Je n'ai rien entendu. v.34 (Acte 1, scène 4, NÉRINE)
- J'entrais mais auriez-vous quelque chose à m'apprendre v.35 (Acte 1, scène 4, N?RINE)
- A propos, pour la Fête un témoin nous arrive, v.47 (Acte 1, scène 4, NÉRINE)
- Et Nérine, du moins, la trouve-t-elle aimable ? v.51 (Acte 1, scène 4, VERSEUIL)
- Moi, je n'y connais rien, et vous en jugerez. v.53 (Acte 1, scène 4, NÉRINE)
- À peine elle connut Confier de Montbrisson, v.57 (Acte 1, scène 4, NÉRINE)
- Qu'elle vint à Paris loger dans sa maison ; v.58 (Acte 1, scène 4, N?RINE)
- C'est qu'elle accourt exprès pour votre mariage ; v.64 (Acte 1, scène 4, N?RINE)
- Montbrisson l'accompagne, il en est enivré. v.70 (Acte 1, scène 4, NÉRINE)
- J'avais besoin de vous, j'ai du chagrin. Julie, v.75 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Son père n'écrit point ; elle y songe sans cesse ; v.79 (Acte 1, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Voilà peut-être aussi l'objet de sa tristesse. v.80 (Acte 1, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Dorival, ( c'est le nom du Pere de Julie ), v.87 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Dans un poste éminent honoroit sa patrie ; v.88 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- D'injurieux soupçons par degrés le noircirent, v.92 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Dorival malheureux restait sans espérance : v.99 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Je te dois tout, lui dis-je, et je viens te l'offrir : v.101 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Armer contre le sort une noble industrie ; v.104 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Recommencer ma course, et chérir mes travaux. » v.110 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Elle tient, dans mon coeur, de ses vertus épris v.113 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Je protège et chéris tous les penchants du coeur, v.133 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Comme au meilleur principe, il tient à sa chimère. v.144 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Il s'est déjà, Madame, offert dix mariages v.147 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- De servir et son Prince et ses Concitoyens ; v.150 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- S'il avait moins d'esprit, et s'il combinait moins, v.153 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Il veut la marier. v.165 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Il est jeune, placé, d'une ancienne origine, v.168 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- D'où naît cette surprise ? v.171 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Dites-vous bien le nom ? N'est-ce point par méprise ? v.172 (Acte 1, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Le connaîtriez-vous ? v.175 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- De concert avec moi, presser ce mariage. v.184 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- En vain à deviner mon esprit se fatigue : v.187 (Acte 1, scène 6, MADAME DE VERSEUIL)
- Je ne peux démêler le noeud de cette intrigue. v.188 (Acte 1, scène 6, MADAME DE VERSEUIL)
- Rien n'est plus sérieux. v.199 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Impatient, troublé, je pars sans vous l'écrire. v.204 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Je vais chez Montbrisson, comptant bien vous y voir. v.206 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Trompé dans mon attente, isolé dans Paris, v.209 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Jugez de mes regrets ! Je m'accuse, et j'écris. v.210 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- De Montbrisson, dit-il, connais-tu la Pupille ? v.212 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Charmante !... j'y souscris, et, vous sachant ici, v.213 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Nous arrivons... le jour que vous étiez partie, v.215 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- M'auriez-vous soupçonné ?... v.225 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Ses soins pour Montbrisson peignent si bien son coeur ! v.230 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Il connaît, m'a-t-il dit, Monsieur de Montbrisson ; v.261 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Il arrive ce soir et l'a dû même écrire. v.263 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- S'il apprend qu'il s'agit pour moi d'un mariage, v.267 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Sans vous, à feindre ici rien ne m'aurait soumis ; v.277 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Et je ne risque rien que d'exciter l'envie. v.284 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Qu'il voulût à sa guise un jour vous marier ; v.290 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Que vous rejetteriez tout autre engagement? v.294 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Vous déplairiez peut-être en déclarant vos noeuds ; v.298 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Et pour moi quel reproche... Ah çà, point de méprise : v.299 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- N'allez pas vous tromper et parler en mari. v.302 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Elle arrive, et la voilà qui cause v.303 (Acte 1, scène 8, NÉRINE)
- Ah ! Nérine, bonjour. v.305 (Acte 1, scène 8, MADAME DE VERSEUIL)
- Ils s'entendent déjà ; je n'y serai plus prise. v.312 (Acte 1, scène 9, NÉRINE)
- Vite, à boire au Courier ? v.315 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Monsieur Terville ainsi me lasse à ne rien faire ; v.319 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Ah ! friponne, bon jour ! v.321 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Ainsi ton Maître arrive ? v.323 (Acte 1, scène 10, NÉRINE)
- Bien roué, bien brisé, mais toujours amoureux. v.326 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Quelques chagrins secrets, quelque invisible flamme. v.332 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Souvent je l'ai surpris poussant de longs soupirs... v.333 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Sur ce principe là règle-toi désormais : v.341 (Acte 1, scène 10, NÉRINE)
- Point d'intrigue à mener, point d'amant, quel supplice! v.343 (Acte 1, scène 10, N?RINE)
- Je ris de voir Lafleur adopter des systèmes : v.356 (Acte 1, scène 10, NÉRINE)
- Rien n'est aussi bouffon. v.357 (Acte 1, scène 10, N?RINE)
- Aujourd'hui marié, je suis chaste demain. v.358 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Ou le Notaire, ou rien. v.363 (Acte 1, scène 10, NÉRINE)
- Ou rien. Voilà le diable. v.363 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Je pense en esprit fort, toi tu parles en femme. v.368 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Ne me voyez-vous point ? Ne suis-je rien au monde ? v.371 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
- Comment ! Sur quoi ? Sur tout.... Terville est arrivé. v.374 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
- Il amené Lafleur .... riez donc une fois. v.377 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
- Nérine, l'as-tu vu ? v.378 (Acte 2, scène 1, JULIE)
- Terville est enchanté quand son cercle varie ; v.384 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
- Oui : je sèche sur pied... des soupirs !... et puis, rien. v.393 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
- Nérine, êtes-vous folle ? v.395 (Acte 2, scène 1, JULIE)
- Jamais, quoi qu'il arrive, il ne faut s'oublier : v.397 (Acte 2, scène 1, JULIE)
- Je n'ai rien à vous dire, et rien à confier. v.398 (Acte 2, scène 1, JULIE)
- Justement. Quel travers ! triste, jeune et jolie.... v.399 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
- Finissons, je vous prie. v.400 (Acte 2, scène 1, JULIE)
- Je chéris cet asile.... v.404 (Acte 2, scène 2, TERVILLE)
- Je connais tout le prix ; rien n'échappe à mon coeur. v.410 (Acte 2, scène 2, TERVILLE)
- En effet, rire, aller, danser, à dix-huit ans, v.414 (Acte 2, scène 2, TERVILLE)
- Rien n'est moins naturel... comme elle est raisonnable ! v.415 (Acte 2, scène 2, TERVILLE)
- Sa rêverie est douce, et la rend plus aimable. v.416 (Acte 2, scène 2, TERVILLE)
- Point de plaisanterie ! v.424 (Acte 2, scène 2, JULIE)
- Heureux qui sent le prix de la simplicité, v.433 (Acte 2, scène 2, MONTBRISSON)
- De la paix domestique et de la vérité ! v.434 (Acte 2, scène 2, MONTBRISSON)
- Surtout, ne sois plus triste, et crois que ton bonheur v.437 (Acte 2, scène 2, MONTBRISSON)
- Je dois être à l'abri d'une instance nouvelle. v.452 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Esprit inconséquent ! v.454 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Je n'entends rien encore au motif qui te guide, v.455 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Éluder le tribut qu'on doit à sa Patrie ; v.460 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Devient un être à part qui n'a plus rien d'humain ? v.462 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Ce fut aussi la mienne .... Qui, Monsieur, vous riez ! v.469 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Je m'épargne un chagrin, j'évite un ridicule ; v.484 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Quelle bizarrerie ? v.487 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Délices de l'esprit et le besoin du coeur. v.498 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Mais pourquoi sous le joug languir emprisonné ? v.501 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Impérieux et froid, même au sein des desirs, v.509 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Je ris d'un être vain, inquiet, soucieux, v.513 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Le Comte, par exemple, est un choix que je prise, v.528 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Ce sera m'enrichir que de lui tout donner. v.541 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Rien n'est encor profond que le vice et l'ennui. v.550 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Il nous arrive ; il vient de me l'écrire : v.551 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- On peut en rire ; v.552 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Comment seul avec elle ! et Julie autorise... v.560 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Je n'en sais rien du tout : tu te moques de moi v.570 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Et je vous garantis que je le marierai : v.578 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Le moyen de souffrir un tort aussi marqué ! v.581 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Calmez-vous s'il vous plaît, réprimez cette ardeur.... v.585 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Même alors qu'il s'immole, et qu'il la sacrifie, v.587 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Comment peut-on risquer d'épouser ce qu'on aime ! v.592 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Me parler mariage ! v.623 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Croyais-je t'offenser ? Et puis, en vérité, v.625 (Acte 2, scène 5, VERSEUIL)
- J'ai droit de l'exiger.... tu l'aimes, je parie ! v.643 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Point de raillerie ? v.644 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Tu dois, presque pour rien, y compter la Marquise. v.652 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Comment ? Presque pour rien ! v.653 (Acte 2, scène 5, VERSEUIL)
- C'est me contrarier que lui rendre des soins : v.654 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- J'ai déjà même écrit. v.662 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Rien. v.662 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Tu ris ? v.680 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Vous faites tout pour eux, ils ne sont rien pour vous. v.682 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Ô Ciel ! Des compliments auriez-vous la manie ? v.692 (Acte 2, scène 6, MADAME DE VERSEUIL)
- Mais qui m'a réjouie : en vérité, Monsieur, v.701 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- J'en ai ri ; voilà tout. v.704 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Mais j'ai le coeur, l'esprit, la tête mal rangés ; v.713 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Le mariage même eut pour moi des appas, v.718 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Qui ne vous iraient pas, dont vous seriez honteux, v.721 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Vous aimeriez ce joug et ce contrat si triste, v.724 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- J'aime assez votre esprit, et même plus qu'un autre : v.735 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Guidé par le caprice, emporté par l'usage, v.740 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Quant à l'extérieur, convenez cependant, v.757 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Vous ne m'approuvez pas ! eh quoi ! Serait-ce un crime, v.759 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- De venger les attraits d'un noeud qui les opprime ; v.760 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- D'offrir au juste orgueil d'un sexe idolâtré, v.761 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Ce culte si flatteur des maris ignoré, v.762 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Vous êtes, dites-vous, épris de mes appas ; v.769 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Si vous vous déguisiez vos véritables feux !... v.773 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Souvent on est fripon, de peur d'être amoureux : v.774 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Car vous savez, je crois, qu'enfin je le marie. v.780 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Si vous continuez, comme lui, je vais rire. v.783 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Si je n'ai pas de quoi faire un mari charmant, v.789 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Ah ! Du moins, je vous prie v.791 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Ne l'instruisez de rien. v.792 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Combien je vous devrai ! je ne peux voir souffrir v.809 (Acte 2, scène 8, MONTBRISSON)
- Cette ame intéressante et qui craint de s'ouvrir. v.810 (Acte 2, scène 8, MONTBRISSON)
- S'attrister est bien fou. v.817 (Acte 3, scène 1, NÉRINE)
- Je voudrais avoir part du moins à vos chagrins. v.821 (Acte 3, scène 1, NÉRINE)
- Nérine ... v.822 (Acte 3, scène 1, JULIE)
- Mais... de rien. La douleur est permise ; v.827 (Acte 3, scène 1, NÉRINE)
- Je ris de temps en temps. v.834 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Ce rire là, Julie, est étranger à l'âme. v.835 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Je n'en crois rien. v.836 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Et vous vous trahiriez, en voulant vous contraindre ; v.839 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Soulagez votre coeur ; vous n'avez rien à craindre ; v.840 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Ah ! si vous me louez, je n'oserai rien dire. v.843 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Il riait.... et mes pleurs étaient prêts à couler. v.878 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Sur-tout à Montbrisson ; qu'il n'en soupçonne rien. v.881 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Au premier jour offert il ouvrira les yeux. v.886 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Ce chagrin est pour moi le plus cruel de tous. v.890 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Il va me marier, il le veut ! quel supplice! v.891 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Monsieur de Montbrisson sera-t-il en colère ? v.907 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Je me sacrifierais plutôt que lui déplaire ; v.908 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Non, non : Monsieur de Montbrisson v.909 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Et rien, ( c'est une énigme encor plus difficile ) v.923 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- L'effet est ridicule, et ressemble à la cause. v.928 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Je me charge du crime : en un mot, je l'exige, v.935 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Quoi ! Monsieur, vous voilà déconcerté pour rien ? v.950 (Acte 3, scène 4, MADAME DE VERSEUIL)
- Terville vous marie ; v.955 (Acte 3, scène 4, MADAME DE VERSEUIL)
- Comme l'on doit sourire à l'heureux qu'on a fait ! v.970 (Acte 3, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Monsieur doit refleurir le bonheur qu'il procure. v.971 (Acte 3, scène 5, JULIE)
- Oui, c'est moi qui t'en prie v.975 (Acte 3, scène 5, VERSEUIL)
- Monsieur, trêve aux discours frivoles ; v.983 (Acte 3, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Venez chez Montbrisson, et prenons un moment, v.985 (Acte 3, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Ce n'est point là, Monsieur, mon premier sacrifice ; v.996 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Mais enfin, à risquer l'aveu que j'avais fui, v.997 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- L'aveu de Montbrisson m'autorise aujourd'hui. v.998 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Quelle rage avez-vous de marier les gens ? v.1002 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Il est riche. v.1005 (Acte 3, scène 6, TERVILLE)
- Et si pour moi, Monsieur, tout cela n'était rien ; v.1006 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- vous n'avez rien à craindre. v.1011 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Moi, je dois y souscrire. v.1020 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Dans ses yeux attendris lire sa destinée ; v.1039 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Chérir ces doux liens qu'on se plaît à serrer, v.1041 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Dans un monde brillant cherchez à la répandre : v.1048 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Qui soupire avec vous, avec vous s'attendrisse ?... v.1052 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Sitôt ! Oui, c'en est fait : rien ne m'est plus contraire. v.1067 (Acte 3, scène 7, TERVILLE)
- Un vieil écervelé dans ce moment arrive ; v.1076 (Acte 3, scène 8, NÉRINE)
- Je goûtais le plaisir de n'avoir rien à faire. v.1080 (Acte 3, scène 8, N?RINE)
- On a cherché partout Julie et Montbrisson. v.1086 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- Vous trouvez !... il est vrai ; mon asthme à lâché prise. v.1091 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- En effet, on voit bien qu'il n'est plus dans sa crise. v.1092 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Il faut trancher le mot... Je permets qu'on en ri, v.1103 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- D'honneur, je suis confus de ne tenir à rien. v.1106 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- De ne tenir à rien ! Si tout échappe, on s'aime ; v.1107 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- On rit du genre humain, et l'on tient à soi-même. v.1108 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Eh ! d'où vous viennent donc ces ténébreux caprices v.1111 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- On ne me voit plus guère aux soupers de nos Princes ; v.1124 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- L'expérience afflige et le temps corrompt tout. v.1130 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Tenez, le mariage à quelque chose est bon. v.1142 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- Vous marier ? ô Ciel ! v.1145 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Qui rira d'un vieillard dormant à sa toilette ; v.1152 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Soit ; j'en ferai l'essai : mais, allons, je vous prie, v.1163 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- Il vent se marier, tant mieux... c'est à Julie. v.1175 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- Je vous quitte, et je vais saluer Montbrisson. v.1178 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- À vous prier. v.1190 (Acte 1, scène 1, MADAME DE VERSEUIL)
- Pour nourrir de tels feux, elle a trop de vertu, v.1222 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Périsse l'âme froide, insensible et stérile v.1235 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Parler est un péril, me taire, est un tourment. v.1238 (Acte 1, scène 2, MADAME DE VERSEUIL)
- Et c'est, en le gardant, Montbrisson que j'offense ; v.1240 (Acte 1, scène 2, MADAME DE VERSEUIL)
- Irritons son amour, piquons sa jalousie : v.1247 (Acte 1, scène 2, MADAME DE VERSEUIL)
- Montbrisson, moi, vous-même, il nous compromet tous ; v.1253 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Montbrisson le veut bien, son Oncle le désire, v.1255 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Je vois avec chagrin que cela vous désole. v.1263 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Vous riez, je crois ? v.1264 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Il n'existe, entre vous, rien qui soit compatible. v.1271 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- C'est une chose horrible v.1284 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- De son esprit, son ton, sa douceur, sa figure, v.1292 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Si j'osais m'enchaîner, j'aurais brigué ses chaînes, v.1311 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- C'est... c'est comme une soeur que je chéris Julie ; v.1319 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Si vous l'étiez, vous seriez trop coupable v.1323 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- On l'aime !... Il le mérite !... Il conviendra du moins, v.1341 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Sûr d'être indifférent, je n'ai plus rien à craindre ; v.1344 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Ce voeu de l'amitié n'est point un voeu stérile.... v.1347 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Oh ! Brisons là-dessus .... v.1353 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Et, quand je lui dois tout, ne m'acquitter de rien ? v.1370 (Acte 1, scène 4, JULIE)
- Embrassez-moi. Vous m'avez attendrie. v.1375 (Acte 1, scène 4, MADAME DE VERSEUIL)
- Et vois tout, sans rien voir ... Ce sont là mes allures v.1396 (Acte 1, scène 5, SAINGÉRANS)
- Aussi, c'est pour cela, ( je dis la vérité ), v.1397 (Acte 1, scène 5, SAING?RANS)
- Mais enfin, je suis riche, en dédommagements : v.1401 (Acte 1, scène 5, SAING?RANS)
- Tenez, vous êtes veuve et le seriez longtemps, v.1402 (Acte 1, scène 5, SAING?RANS)
- Je ne suis point gênant : sans que rien me déplaise, v.1407 (Acte 1, scène 5, SAING?RANS)
- Vous jouerez, jaserez, rirez tout à votre aise : v.1408 (Acte 1, scène 5, SAING?RANS)
- Ce n'est rien. v.1411 (Acte 1, scène 5, SAINGÉRANS)
- L'amour me guérira. v.1419 (Acte 1, scène 5, SAINGÉRANS)
- Vous m'en voudriez trop. Les petits soins !.... Mesdames, v.1423 (Acte 1, scène 5, SAINGÉRANS)
- C'est avec ces rien-là que l'on séduit les femmes. v.1424 (Acte 1, scène 5, SAING?RANS)
- Où donc, Monsieur_le_Comte, est la galanterie ? v.1427 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- Les maux qui, selon toi, suivent le mariage.... v.1436 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- L'aurais-je donc risqué, moi, Monsieur (j'en conviens) v.1441 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- Rien n'est plus sérieux, je vous en avertis. v.1445 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- Des maris que tu fais, je te crois fort jaloux... v.1450 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Sans en être jaloux, on peut chérir Julie. v.1452 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- Je ris. v.1454 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Peut-être aussi veux-je me marier ? v.1454 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- Une forte d'orgueil, un faux et triste honneur v.1465 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Pur écart de l'esprit, abus de la raison, v.1473 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Préparant les ennuis de l'arrière saison. v.1474 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Pourquoi contrarier le penchant qui l'entraîne ? v.1476 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Aigri par tes chagrins, tu m'en croiras complice ; v.1480 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Je l'ai connu, chéri... le calme est arrivé, v.1489 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- Je n'ai rien à répondre, il a lu dans mon âme. v.1503 (Acte 1, scène 7, TERVILLE)
- Moi-même, à mon rival marier ma maîtresse ! v.1508 (Acte 1, scène 7, TERVILLE)
- Peut-être, en m'en privant, je m'épargne des larmes : v.1512 (Acte 1, scène 7, TERVILLE)
- L'homme ne peut-il donc former une entreprise ? v.1515 (Acte 1, scène 7, TERVILLE)
- Et qu'est-ce que l'esprit quand le coeur le maîtrise ? v.1516 (Acte 1, scène 7, TERVILLE)
- Lui seul doit triompher ... rien ne me changera. v.1525 (Acte 1, scène 7, TERVILLE)
- Julie est renfermée, elle est seule, elle écrit, v.1541 (Acte 5, scène 1, NÉRINE)
- Montbrisson est rêveur, Saingérans perd l'esprit. v.1542 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
- Ne va pas m'attendrir. v.1549 (Acte 5, scène 1, LAFLEUR)
- Respecte mon plan, et songe à m'acquérir! v.1550 (Acte 5, scène 1, LAFLEUR)
- Un esprit fort ? v.1555 (Acte 5, scène 1, NÉRINE)
- Je ris de ta grimace : v.1555 (Acte 5, scène 1, NÉRINE)
- Et vous ne savez rien ; la chose est manifeste. v.1568 (Acte 5, scène 2, SAINGÉRANS)
- Depuis plus de six mois Verseuil est marié. v.1570 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Fort bien ! vous mariez ceux qui le sont déjà. v.1578 (Acte 5, scène 2, SAINGÉRANS)
- Verseuil est marié ! Qu'ai-je fait ? Et Julie... v.1579 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Verseuil est marié ! je n'y puis rien comprendre... v.1583 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Je ne dis point cela. J'ai crié, j'ai tonné, v.1585 (Acte 5, scène 2, SAINGÉRANS)
- Quand Montbrisson... v.1589 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- On peut, si vous voulez, casser ce mariage. v.1592 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Tout s'en détache enfin, et rien ne lui prospère. v.1616 (Acte 5, scène 2, SAINGÉRANS)
- Et n'irais point au loin, dans mes tristes loisirs, v.1621 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- J'en crois l'expérience, et.. plus que la raison. v.1626 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Pour échapper au sort, pour tromper ses rigueurs, v.1634 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Il ne faut point sur nous lui donner trop de prise ; v.1635 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Seul, on pare ses coups, ou bien on les méprise ; v.1636 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Mes principes par là sont dérangés sans doute. v.1644 (Acte 5, scène 2, SAINGÉRANS)
- Et si je n'obtiens rien, si le sort m'est contraire, v.1648 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Mais, il ne dira rien, et tout réussira. v.1650 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Adieu. Chez Montbrisson voudrez-vous bien m'attendre ? v.1651 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Il se trouble aisément l'honnête Montbrisson ; v.1653 (Acte 5, scène 3, SAINGÉRANS)
- Que dit-il ? Que veut-il ? Rien pour moi n'est changé. v.1669 (Acte 5, scène 5, JULIE)
- Au reproche, aux tourments, rien ne peur me soustraire. v.1672 (Acte 5, scène 5, JULIE)
- Quand Monbrisson saura... Je n'ose lui parler, v.1674 (Acte 5, scène 5, JULIE)
- Va d'un si triste aveu m'épargner les alarmes. v.1676 (Acte 5, scène 5, JULIE)
- Le quitter ! Moi ! Pour prix de ses soins paternels ! v.1678 (Acte 5, scène 5, JULIE)
- Ah ! mourons loin de lui d'un chagrin qu'il ignore. v.1684 (Acte 5, scène 5, JULIE)
- Avant de l'envoyer relisons cet écrit. v.1686 (Acte 5, scène 5, JULIE)
- Que dis-je ? Il n'est pour rien dans un pareil projet ; v.1689 (Acte 5, scène 6, MONTBRISSON)
- Ciel ! Montbrisson ! v.1691 (Acte 5, scène 6, JULIE)
- Vous ne m'aimez donc plus ? Vous ne me dites rien !... v.1694 (Acte 5, scène 6, MONTBRISSON)
- Quel chagrin avez-vous ? v.1695 (Acte 5, scène 6, MONTBRISSON)
- Il faut vivre coupable, ou mourir malheureuse ». v.1711 (Acte 5, scène 7, MONTBRISSON)
- Touchante vérité, répands sur mes discours, v.1717 (Acte 5, scène 7, MONTBRISSON)
- Ce charme impérieux qui désarme toujours. v.1718 (Acte 5, scène 7, MONTBRISSON)
- Où donc as-tu puisé ces principes affreux, v.1729 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Garants d'un esprit faux et d'un coeur malheureux ? v.1730 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- D'aimer le genre humain, pour n'aimer rien qu'eux-même v.1736 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Dont l'aride sagesse en impose aujourd'hui, v.1737 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Est, et sera toujours le mortel le plus triste ; v.1740 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Reprends l'esprit, les voeux, le coeur d'un citoyen. v.1754 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Le mariage ainsi vous semble un joug utile ? v.1759 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- ( Je ne dis rien des maux que l'on n'aperçoit pas. ) v.1766 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Quels motifs parmi nous règlent les mariages ? v.1767 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Les maris bafoués, et même par des sots, v.1777 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Des noms d'époux, traînés dans tous les Tribunaux, v.1778 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Les affronts, le mépris, le malheur et les larmes... v.1788 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- D'un noeud souvent horrible et toujours importun. v.1790 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Sacrifices touchants, et ; toujours volontaires ; v.1808 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Voilà de mon hymen l'attendrissante image. v.1812 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Où sont-ils, ces transports, ces touchants sacrifices, v.1815 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Ces tributs douloureux que je dois à leur cendre, v.1820 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Oui, je les aime mieux que le bonheur frivole, v.1823 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- D'un coeur que rien n'émeut, et que l'orgueil isole. v.1824 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- La nature a des maux qu'il faut savoir chérir. v.1825 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Expiant notre luxe ; existant pour souffrir, v.1829 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Environné d'enfants qu'à peine il peut nourrir ; v.1830 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Ses cris te répondront ; tu verras ses alarmes. v.1835 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Des tableaux aussi vrais ne peuvent rien sur toi ? v.1842 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Même en la surmontant, je chéris ma faiblesse. v.1860 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Oui, j'adore Julie, et, dans ce triste jour, v.1861 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Qu'entends-je ! Et tu pouvais !... Et ton horrible zèle... v.1863 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Je n'écoute plus rien. v.1869 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Il faut vivre coupable... ou mourir malheureuse. v.1876 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Je triomphe ... des pleurs échappent de ses yeux. v.1878 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Approche... Ne crains rien. v.1879 (Acte 5, scène 9, MONTBRISSON)
- Dans des principes faux je m'étais engagé, v.1897 (Acte 5, scène 9, TERVILLE)
- Le sentiment m'éclaire, et seul m'a corrigé. v.1898 (Acte 5, scène 9, TERVILLE)
- Je sens mieux en ce jour le prix de vos bontés ; v.1901 (Acte 5, scène 9, JULIE)
- Je veux des retours vrais et non des sacrifices. v.1904 (Acte 5, scène 9, JULIE)
- Je ne regrette rien que d'avoir différé. v.1910 (Acte 5, scène 9, TERVILLE)
- Redevenu sensible, il ne te manque rien. v.1914 (Acte 5, scène 10, MONTBRISSON)
- Rien n'est plus consolant. v.1918 (Acte 5, scène 10, NÉRINE)
- Qu'on peut être mari, sans cesser d'être amant. v.1922 (Acte 5, scène 10, TERVILLE)
LES PRÔNEURS OU LE TARTUFFE LITTÉRAIRE (1777)
- Qu'à mon frère légua quelque rimeur glacé. v.6 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Prends garde ; ils ont, chez eux, des esprits fins, profonds. v.10 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Me composant d'abord un maintien sérieux, v.17 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Toi, qui ne prétends point au Laurier littéraire, v.27 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Forlis, il faut en rire, et non pas s'en venger. v.30 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- S'ils n'étAient qu'entêtés, impérieux et tristes, v.31 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Détracteurs indiscrets, ou faux Panégyristes, v.32 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Leur Dieu, c'est l'intérêt ; ils n'aiment rien qu'eux-mêmes. v.36 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Quelque prix qu'il en coûte, ils veulent dominer, v.37 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Elle est sensible et franche ; elle ne peut souffrir v.45 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Qu'on veuille la tromper, la contraindre, ou l'aigrir. v.46 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- De renfler, par des mots, le plus frêle mérite; v.52 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Tout esprit qui répugne à leur ton caressant ; v.54 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Des hommes méprisés, des brigands littéraires. v.68 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- D'un méchant démasqué, flétri par un succès, v.70 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- D'ennuyer tout Paris, par des vers satyriques ? v.72 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Qui, sur un hémistiche, écrit un mois entier ? v.74 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Et qu'elle-même attache au laurier du Génie ? v.80 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Aujourd'hui, j'ai pour moi l'autorité des moeurs. v.81 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Et que d'un écrivain j'aie aussi les honneurs. v.90 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Ce poète estimé, que l'on déprime ici, v.93 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Floridor, pour cela, m'a volontiers servi. v.94 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Finette, je parie, a bien senti l'abus v.98 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Aguerri sur tes mers, il sait braver l'orage. v.103 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Et vient décidément presser mon mariage. v.104 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Bon ! Il ne pourra rien. v.105 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Moi, je vais lire, avec sécurité, v.109 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Va rêver à ta belle ; on va parier pour toi. v.114 (Acte 1, scène 2, DORCI PÈRE)
- Il faut la resserrer, et rien n'est plus facile. v.120 (Acte 1, scène 3, DORCI PÈRE)
- Je prise leurs travaux ; leurs veilles me sont chères. v.132 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Mais l'abus de l'esprit, sa morgue insociable, v.135 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Il sèche et corrompt tout ; sa triste aridité v.137 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- De leurs principes faux sa tête est enivrée. v.147 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Rien ne se dit chez moi, qui ne soit merveilleux ; v.149 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- On érige en miracle un billet qu'elle écrit : v.153 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Les bourreaux m'ont gâté son coeur et son esprit! v.154 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Qu'il soit loyal, humain, s'exprime avec son âme ; v.167 (Acte 1, scène 3, DORCI PÈRE)
- La sienne est plus brillante, et fut mieux dirigée. v.172 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- Avec de la franchise on n'a besoin de rien : v.173 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- Use d'autorité. v.179 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- La violence aigrit, et la douceur obtient. v.186 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Je ne suis pas surpris qu'il t'ait paru bizarre. v.192 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Ma femme, cette nuit, se récriait d'avance : v.204 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Le bel esprit est certes un étrange tourment ! v.209 (Acte 1, scène 3, DORCI PÈRE)
- Pour attendrir le cercle, il se tordait les bras. v.222 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- D'un minois africain, tombé je ne sais d'où. v.226 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Un grand flandrin de Prince arrive à la traverse ; v.227 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Quand il voit son rival, il tombe à la renverse : v.228 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- C'est-là le coup de maître !... Et puis viennent les crimes, v.231 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- « Moi, dit l'une, j'ai cru périr au dénouement ! v.237 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- On n'entend rien au noeud, tant il est bien formé ! v.241 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Le cinquième acte étonne... Ah ! comme il est rimé ! » v.242 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- J'ai tant bâillé, Monsieur, qu'il m'est permis de rire. v.244 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- En tout son esprit brille ; v.247 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Pour ce double mérite, il faut que je l'embrasse. v.251 (Acte 1, scène 4, DORCI PÈRE)
- Mais un brave marin, ardent et résolu, v.253 (Acte 1, scène 4, DORCI PÈRE)
- Mais, oui, j'ai des principes. v.255 (Acte 1, scène 4, DORCI PÈRE)
- Éclairez, dirigez ma faible intelligence. v.260 (Acte 1, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- Jusqu'à ce Roi cruel, tout a su m'attendrir. v.269 (Acte 1, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- Tenez, j'ai le coeur gros de l'avoir vu mourir. v.270 (Acte 1, scène 5, FATMÉ)
- Vous allez me causer un terrible embarras, v.277 (Acte 1, scène 5, DURCET)
- Il est de Floridor. v.289 (Acte 1, scène 6, CÉLIMÈNE)
- Il écrit bien. v.290 (Acte 1, scène 6, FORLIS)
- Ce Floridor, Monsieur, est, dit-on, très honnête ; v.291 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Mais, c'est un homme, au fait, qui n'a rien dans la tête : v.292 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Oui ; le fils du Marin, si fameux sur les flots. v.305 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Se battant, sans esprit. v.307 (Acte 1, scène 6, FATMÉ)
- Qui n'analyse rien, et se croit un grand Homme. v.308 (Acte 1, scène 6, CÉLIMÈNE)
- L'apostrophe est brillante. v.311 (Acte 1, scène 6, CÉLIMÈNE)
- Les plaisirs de l'esprit ont de puissants attraits. v.318 (Acte 1, scène 6, CÉLIMÈNE)
- Ne l'oubliez jamais, et bravez la critique. v.320 (Acte 1, scène 6, FATMÉ)
- Il faut que tout Paris se l'arrache demain, v.325 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Elle sort à l'instant ; croyez-moi, rien ne presse. v.339 (Acte 1, scène 9, FINETTE)
- Madame, jusqu'ici, ne vous a donc rien dit, v.341 (Acte 1, scène 9, FINETTE)
- Ne vous a point parlé sur un certain écrit ? v.342 (Acte 1, scène 9, FINETTE)
- Ce sont de grands esprits, de fameux écrivains, v.365 (Acte 1, scène 11, DORCI FILS)
- Pauvre dupe ! À ce piège il était déjà pris ! v.369 (Acte 1, scène 11, DORCI PÈRE)
- Tous ces Phoenix, pourtant, dont tu parais épris, v.370 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Ils sont pétris d'orgueil, et l'orgueil les rend bêtes. v.372 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Ils cabalent entr'eux, n'élèvent rien, détruisent ; v.375 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Proscriraient volontiers ceux qui les contredisent ; v.376 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Un esprit sec et dur, de la morgue, des mots ; v.381 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- La rage calculante a glacé tout Paris. v.386 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- On m'avait, en passant, tracé leur ridicule, v.392 (Acte 1, scène 11, DORCI PÈRE)
- Effleurant mon esprit, n'y tenaient déjà plus. v.394 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Bas, et souple au besoin, oppresseur, intrigant, v.402 (Acte 1, scène 11, DORCI PÈRE)
- Pour mieux nuire, on se met sous de puissants abris ; v.405 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- On vend force venins, sous le beau nom d'écrits. v.406 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- De l'État, que l'on trompe, on détruit la richesse. v.408 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Que l'instinct des vertus, les soins patriotiques, v.411 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- T'éclairent sur l'esprit de ces froids Empiriques. v.412 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- J'ai saisi, dès longtemps, cette vérité-là. v.413 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Il s'en échappe un cri, vainqueur de l'imposture, v.415 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Et l'on y trouve un code écrit par la nature. v.416 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Crois mon expérience, embrasse mes travaux ; v.421 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Ce sont des titres vrais que cherche un vrai mérite. v.423 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Le chagrin de te voir trancher du personnage ; v.428 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Moi, mon père ! Qui, moi !... Dirigez votre fils ; v.433 (Acte 1, scène 11, DORCI FILS)
- Au lieu d'un esprit fort, il lui faut un époux. v.442 (Acte 1, scène 11, DORCI PÈRE)
- Viens, baise-moi, fripon. v.445 (Acte 1, scène 11, DORCI PÈRE)
- Vous avez l'esprit juste, et cet utile ensemble, v.447 (Acte 2, scène 1, CALLIDÈS)
- Mais le talent n'est rien, et la conduite est tout. v.453 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Nos aïeux écrivaient, et nous avons pensé. v.458 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Cet attrait d'un esprit facile et désarmé. v.470 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Par exemple, est-ce à moi de risquer un suffrage ? v.475 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Horace me paraît un véritable sage. v.476 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Hors de l'humaine atteinte il a mis son laurier. v.482 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Son rival que j'adore, et qu'après lui je nomme, v.483 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Il n'est rien de plus sot qu'un peuple conquérant, v.493 (Acte 2, scène 1, CALLIDÈS)
- Voilà votre Pindare, infortuné rimeur, v.501 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- L'autre postérité que nous formons d'avance. v.508 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Le Public est, Monsieur, terriblement tombé. v.514 (Acte 2, scène 1, CALLIDÈS)
- Pauvre esprit que j'étais ! Je m'écriais souvent : v.517 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- La médiocrité domine insolemment ; v.518 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Le mérite oublié languit sans récompense ; v.519 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Tout s'altère et périt ; toute secte est fragile : v.523 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Tenez tête au mortel qui n'a qu'un nom stérile ; v.543 (Acte 2, scène 1, CALLIDÈS)
- Malgré ce mot, pourtant, l'autorité cruelle, v.547 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Souple dans son principe, v.552 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- On parvient, à son tour, au moment d'opprimer, v.554 (Acte 2, scène 1, CALLIDÈS)
- Extrémité terrible, autant que nécessaire ! v.555 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Et défendre l'esprit des attentats des sots. v.558 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Rien n'est indifférent : Voyez beaucoup AEglé ; v.561 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Quand l'esprit est chez lui par les grâces paré. v.566 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Ce n'est que ce jour-là qu'à Paris on raisonne : v.575 (Acte 2, scène 1, CALLIDÈS)
- Vous en aurez trop cru, Blunt, Ariste, Damis, v.577 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Ce sont de bons esprits ; leurs moeurs sont respectables. v.580 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Leurs écrits, en tout genre, étincellent de traits, v.581 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Dussent tout au talent, et rien à la souplesse ? v.588 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Que ces rivaux unis, par le même chemin, v.589 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- L'esprit, ce don du Ciel, fût joint a la bonté ? v.594 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Voyez nos favoris, fêtés et glorieux, v.610 (Acte 2, scène 1, CALLIDÈS)
- Aux fastes de mémoire inscrits tous à la file, v.611 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Et fouler à leurs pieds leurs rivaux abattus. v.613 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Notre esprit seul prévaut : ses leçons immortelles v.615 (Acte 2, scène 1, CALLIDÈS)
- Mon esprit désormais humblement vous croira, v.621 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Voit son insuffisance, et sent votre mérite.... v.628 (Acte 2, scène 2, CALLIDÈS)
- Rien : cela ne rend pas ; on rit de mes grimaces. v.643 (Acte 2, scène 3, FURET)
- Non, je n'ai jamais vu les esprits si tenaces. v.644 (Acte 2, scène 3, FURET)
- Je cède : mais, au moins, empêchez qu'il écrive ; v.652 (Acte 2, scène 3, FURET)
- Et, tenez, même ici, j'ose en risquer l'aveu, v.653 (Acte 2, scène 3, FURET)
- Ce bon Ariste v.659 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- Vit dans son cabinet ; il est pauvre, il est triste. v.660 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Il a fait des écrits qui sont assez goûtés, v.661 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Ce qui n'est rien pour lui, pour l'autre est un trésor : v.665 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Je ne réponds de rien. v.671 (Acte 2, scène 3, FURET)
- Vous qui brillez, surtout, par les incompatibles, v.688 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- Quelques jaloux obscurs se glissent dans Paris, v.689 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Et j'apporte à vos yeux la table des proscrits. v.690 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Le Rimeur Alcidas. v.692 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- C'est un esprit, dissous dans les frivolités, v.698 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- Ayant l'air d'ignorer le prix de notre estime. v.700 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Que nous possédons seuls le tarif des succès. v.706 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- L'art de la Prônerie, et l'art de la Satire. v.716 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- Il faut parler contre eux, contre eux il faut écrire. v.724 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- Les voeux d'une âme simple et d'un esprit modeste. v.736 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Charme de l'union ! Quel groupe ! Il m'attendrit. v.741 (Acte 2, scène 3, VERSAC)
- Ce n'est rien que l'esprit, v.742 (Acte 2, scène 3, FURET)
- Il mérite un Empire. v.744 (Acte 2, scène 3, DURCET)
- Vous ne répondez rien. v.745 (Acte 2, scène 3, FURET)
- Rien n'est plus instructif ! Quelle érudition ! v.762 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- J'oubliais... sur les grains il m'a promis d'écrire. v.767 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Que d'esprit ! v.769 (Acte 2, scène 4, DURCET)
- Optez : mon amitié ne veut rien qui déplaise. v.775 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Eh ! Bon Dieu ! Rien ne presse. v.780 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Peut-on faire trop tôt un mariage utile ? v.783 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Mais, non Messieurs, j'en ris ; c'est, je crois, vous répondre. v.800 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Vous n'avez point pris, et cela m'embarrasse. v.804 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Peut-être, quelque jour, j'écrirai mes voyages. v.808 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Ces faux clinquants d'esprit dont ce siècle a brillé ; v.810 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Je n'ai rien entendu. v.822 (Acte 2, scène 5, BROUSSIN)
- Cet orage n'est rien ; v.825 (Acte 2, scène 6, CALLIDÈS)
- Aux esprits animaux il doit tout son courage. v.828 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- Mon mari se plaindra. v.832 (Acte 2, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Plainte vaine et frivole ! v.832 (Acte 2, scène 6, CALLIDÈS)
- Depuis quand ces égards pour les maris grondeurs ? v.833 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- À Versac, par exemple ; il est plein de mérite. v.835 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- Et nous tenons Paris avec vos deux maisons. v.846 (Acte 2, scène 6, CALLIDÈS)
- Votre main, du Parnasse ouvrira les barrières ; v.847 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- Ceux que vous proscrirez essuieront nos dédains. v.854 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- Ce mariage importe à la Littérature. v.860 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- Venez ; dans ce moment, je ne puis rien répondre, v.867 (Acte 2, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Je ne discerne rien ; tout sert à me confondre: v.868 (Acte 2, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Il faut une statue à ce jeune écrivain. v.878 (Acte 3, scène 1, MADAME DE NORVILLE)
- Tout l'esprit de la France est ici rassemblé, v.881 (Acte 3, scène 1, MADAME DE NORVILLE)
- Peu louangeur, mais simple, il peint la vérité. v.889 (Acte 3, scène 2, DORCI PÈRE)
- Et je parierais bien, qu'avec tout leur fatras, v.893 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Eh ! Monsieur, justement, c'est par l'âme qu'ils brillent. v.903 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- De traits d'humanité tous leurs écrits fourmillent. v.904 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- Les esprits sont par eux, à la fin, dégagés. v.906 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- La vérité tardive est au moins aperçue ; v.907 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- Qu'ils soient libres, chéris, opulents et fêtés, v.917 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- Vous les verrez, partout semant les vérités, v.918 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- Faire fleurir la paix, encourager les sages : v.920 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- L'esprit humain s'arrête, et le monde est perdu. v.922 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- Et leur prose, et leurs vers n'y feront rien du tout. v.926 (Acte 3, scène 2, DORCI PÈRE)
- Ils en riront d'autant. J'ai vu dans leurs propos, v.929 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Et votre esprit, moins grave, en était plus aimable. v.936 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Mariez votre fille avec mon fils qui l'aime ; v.939 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Sans gêne, sans débats, surtout sans beaux esprits. v.946 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Il nous faut du bonheur, rien qui soit compassé, v.953 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- « MADAME, prenez garde : on cabale, on intrigue, v.971 (Acte 3, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Tout ira, le jour naît, la vérité s'avance. v.992 (Acte 3, scène 5, CALLIDÈS)
- La sagesse dicta ; nous n'avons fait qu'écrire. v.996 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- De la célébrité les échos se répondent ; v.1000 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Le célèbre Uranis vient encor de m'écrire v.1008 (Acte 3, scène 5, CALLIDÈS)
- Vieilli sous les lauriers, et courbé sous leur faix, v.1013 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Il prononce, en riant, les arrêts du Destin. v.1018 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Mon coeur forge les traits ; son esprit les aiguise. v.1020 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- On ne finirait rien avec ce troupeau-là. v.1030 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- L'une et l'autre ont leur prix. v.1033 (Acte 3, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- Hélas ! Pour la rigueur, v.1033 (Acte 3, scène 5, CALLIDÈS)
- C'est que ces vérités sont trop fortes pour elles. v.1040 (Acte 3, scène 5, CALLIDÈS)
- Regardez Dorilas, au front grave et hautain. v.1057 (Acte 3, scène 5, CALLIDÈS)
- Lui-même il se méprise, et le public, peut-être, v.1059 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Il écrit, tant qu'on veut, pour, ou contre, et très bien. v.1065 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Pour vous former le goût, cet écrit semble fait; v.1077 (Acte 3, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Rimée encor. v.1081 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Que l'ingrat avec moi n'a jamais exprimé. v.1093 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Je ne conteste rien. v.1096 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Le pourrait-on sans crime ? v.1096 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Qu'on n'entend rien à ces madrigaux-là. v.1106 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Oui, parmi mes chagrins... v.1111 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Je ne les peux souffrir : je suis bien moins que vous ; v.1121 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Eux, toujours eux, puis rien. Malgré leur excellence, v.1123 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- On peut rire et jaser sans avoir tant d'esprit. v.1126 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Est-ce là de quel prix vous payez mon ardeur ? v.1130 (Acte 3, scène 8, DORCI FILS)
- S'ils allaient y venir ! Ils ignorent le prix v.1149 (Acte 3, scène 8, FINETTE)
- De ces moments furtifs que l'amour a surpris ; v.1150 (Acte 3, scène 8, FINETTE)
- Ils ignorent le prix d'un soupir qui s'échappe, v.1151 (Acte 3, scène 8, FINETTE)
- La friponne est jolie! v.1159 (Acte 3, scène 9, DURCET)
- Miséricorde ! Il lorgne ! v.1161 (Acte 3, scène 9, FINETTE)
- Souvent un maître aveugle, épris des grands talents, v.1169 (Acte 3, scène 10, CALLIDÈS)
- Que l'on écrive, ou non, pour les races futures v.1171 (Acte 3, scène 10, CALLID?S)
- L'antichambre flétrit les lauriers du salon : v.1174 (Acte 3, scène 10, CALLID?S)
- J'écrirai là-dessus.... v.1181 (Acte 3, scène 10, BROUSSIN)
- Licurgue, porte ailleurs ton austérité sotte : v.1183 (Acte 3, scène 10, VERSAC)
- J'assujettis le sol, les esprits, les climats, v.1189 (Acte 3, scène 10, VERSAC)
- Et les feux de la ligne, et l'horreur des frimas. v.1190 (Acte 3, scène 10, VERSAC)
- Cette main défricha des régions incultes, v.1191 (Acte 3, scène 10, VERSAC)
- Et l'on pourrait noyer tous les jurisconsultes, v.1192 (Acte 3, scène 10, VERSAC)
- Sans que leur perte en rien fût nuisible aux mortels. v.1193 (Acte 3, scène 10, VERSAC)
- Comme si, d'un coup d'oeil, et d'un esprit distrait, v.1205 (Acte 3, scène 10, CALLIDÈS)
- Oui, vous avez saisi le principe de vie, v.1208 (Acte 3, scène 10, CALLID?S)
- Cet écrit est vraiment marqué de notre sceau. v.1210 (Acte 3, scène 10, CALLID?S)
- De Monsieur_Floridor le destin s'expédie. v.1248 (Acte 3, scène 12, DURCET)
- On vient de la huer à triple carillon. v.1257 (Acte 3, scène 13, FINETTE)
- Ce pauvre Floridor. v.1263 (Acte 3, scène 13, FINETTE)
- Ta pitié nous irrite. v.1263 (Acte 3, scène 13, DURCET)
- Poète sans chaleur, écrivain sans mérite, v.1264 (Acte 3, scène 13, DURCET)
- Esprit enluminé de la couleur du temps, v.1265 (Acte 3, scène 13, DURCET)
- Sans avoir un succès, il écrirait cent ans. v.1266 (Acte 3, scène 13, DURCET)
- Cela rit à l'esprit; v.1268 (Acte 3, scène 13, CALLIDÈS)
- Mais, Messieurs, je vous trompe, et ne sais rien du tout. v.1270 (Acte 3, scène 13, FINETTE)
- Mais, dès le lendemain, il vient crier merveille, v.1279 (Acte 3, scène 14, VERSAC)
- Quelle horrible aventure ! v.1283 (Acte 3, scène 15, FURET)
- Laissez-moi raffermir mes esprits effrayés... v.1285 (Acte 3, scène 15, FURET)
- Alors, je suis resté triste, confus et blême. v.1295 (Acte 3, scène 15, FURET)
- Dans l'action, nous avons tous péri. v.1297 (Acte 3, scène 15, FURET)
- La pièce ne vaut rien ; n'importe, ils en ont ri. v.1298 (Acte 3, scène 15, FURET)
- Est un vieux manuscrit, un brouillon vermoulu, v.1314 (Acte 3, scène 15, FURET)
- Il va dans tout Paris raconter notre histoire. v.1316 (Acte 3, scène 15, FURET)
- Rien ne nous est resté. v.1317 (Acte 3, scène 15, FURET)
- La constance et la sécurité. v.1318 (Acte 3, scène 15, CALLIDÈS)
- On n'a rien vu d'égal à ce train-là ! v.1321 (Acte 3, scène 16, MADAME DE NORVILLE)
- Auraient-ils mérité ?... C'est vous, Monsieur ; jamais, v.1326 (Acte 3, scène 16, MADAME DE NORVILLE)
- De l'esprit qui n'est point dirigé par le coeur. v.1330 (Acte 3, scène 16, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Elle est de Floridor, c'est encore une adresse. v.1339 (Acte 3, scène 16, DORCI FILS)
- Ce Monsieur Floridor me poursuit donc sans cesse? v.1340 (Acte 3, scène 16, MADAME DE NORVILLE)
- Vivre avec ses enfanTs, et chérir ses amis. v.1346 (Acte 3, scène 16, DORCI PÈRE)
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Dans les 1862 textes du corpus, il y a 4 textes (soit une présence dans 0,21 % des textes) dans lesquels il y a 964 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 241,00 occurences par texte.
n° | Titres | Acte 1 | Acte 2 | Acte 3 | Acte 5 | Total |
1 | LA FEINTE PAR AMOUR | 72 | 71 | 43 | 0 | 186 |
2 | RÉGULUS | 67 | 49 | 48 | 0 | 164 |
3 | LE CÉLIBATAIRE | 128 | 79 | 59 | 78 | 344 |
4 | LES PRÔNEURS OU LE TARTUFFE LITTÉRAIRE | 100 | 83 | 87 | 0 | 270 |
Total | 367 | 282 | 237 | 78 | 964 |